La route pour Oreille du Loup - Talice, Addryn et Zakok

Il est très tôt le matin, alors que l’aube se lève sur Fort Rannick, vous partez par la porte Nord où Ardy Gorz et le plus jeune des Kaermin, Ben, vous saluent et vous souhaite bonne route. Votre petit groupe, Aela et Zakok en tête, progresse d’un pas rapide et dévale les pentes des contreforts de la Crochue.

Arrivé à proximité du Bac, une petite horde d’enfants vous assaille en hurlant des louanges, des cris d’encouragements et en beuglant une sorte de chant guerrier de leur cru en l’honneur du "Terrible" Zakok aux 9 doigts le tueur de monstres et de son acolyte Morgrim le nain volant. Zakok en profite donc pour parader suivit de Aela qui rigole et se pavane à ses côté, quand vous autres passez la troupe en riant et en souriant.

Vous atteignez ensuite rapidement la forêt de Sanos, foyer des gnomes, où le soleil caché par les frondaisons n’arrive plus à vous réchauffer de ses rayons. Veillant à ne pas vous écarter de la piste, afin d’éviter de vous perdre, vous continuez votre route sur les indications de Talice et de sa carte. Vous avancez ainsi jusqu’aux premières heures du crépuscule et seulement alors vous vous éloignez de la route afin de pouvoir enchainer vos bêtes à deux énormes chênes. Aela semble légèrement surprise et a du mal à encaisser la nouvelle, malgré qu’elle promette de garder le secret comme le lui demande son maître, elle semble nourrir une rancœur grandissante envers Addryn et Talice. Pourtant, la nuit semble lui apporter du réconfort tout comme à vous et le lendemain la fatigue de la veille n’est plus qu’un lointain souvenir tout que le son de la voix de la petite qui ne parle plus que rarement à son maître se tient toujours en arrière des "monstres".

Vous continuez à ce rythme jusqu’à la croisée des chemins aux pieds des Monts Malgoriens sans incidents notables, si ce n’est une lamentable tentative de vol, durant laquelle une dizaine de bandits de grand chemin vous sont tombés dessus au sortir de la forêt, s’emparant d’Aela ; restée en arrière comme à son habitude depuis le début du voyage ; afin de vous aider à rester sage. Hélas pour eux ils avaient très mal évalués la petite, qui, ayant bien retenu ses leçons, étala son ravisseur d’un magistral coup dans les parties avant de fuir dans les buissons, vous laissant le champ libre pour régler ce contretemps, Morgrim en tête son regard aussi froid que la mort qui était en train de s’abattre sur les brigands.

Vient donc le moment de vous séparer et au réveil de cette 5ème  nuit bercée par les grognements et les menaces des loups, Morgrim et Aela prennent la direction du nord ; la petite semblant clairement heureuse de laisser Addryn et Talice loin derrière elle ; après que rendez-vous ai été pris d’ici 2 mois au fort.

Vous n’êtes donc plus qu’à 4 jours de marche de votre destination et après avoir regagné la route que vous aviez quitté pour la nuit, vous continuez votre chemin avec un Zakok qui semble d’humeur musicale en ce début de matinée. La journée suit son cours tranquillement, ponctuée de marchands, de charrettes et de voyageurs en route vers le Nord et le crépuscule ressemble à tous les préscédents ; s’enfoncer dans un bois, trouver deux gros arbres au calme, manger, enchainer ou se faire enchainer et finalement jouer de la flute ou la subir (Cayden et Gorum fassent qu’il progresse ou vous risquer de mourir prématurément). Pourtant, ce soir alors que Zakok avait posé sa flute pour contempler les étoiles ; bercé par les cris et les menaces de Talice alors qu’Addryn se contentait de temps à autres de hurler ; le silence soudain des deux bêtes le sorti de ses pensées.
Un impressionnant corbeau borgne semble vous observer dans la chaude lumière des flammes depuis une branche basse.

zakok reste calme et dubitatif devant le grand oiseau .  
il essai de percevoir dans l'animal si il y a une quelconque trace d’intelligence ? (en le fixant a sont tour et en essayant un maladroitement)
" euh bonsoir messire corbak?"
tout en levant sa mains comme pour saluer.
puis se reprent et se marmonnant a lui même..
"faut vraiment que je me repose moi je parle a un piaf maintenant hé hé"

Talice mimant un ton remplit d’appétit féroce lance ce qsui suit à Zakok :

"Ne gaspille pas ton temps à palabrer avec ce rat volant... Inepte lanceur de foudre !
Montre lui donc comment tu cuisine le serpent et cette fois tâche de reussir ta propre cuisson que je puisse avoir un vrai souper de vous deux !"

Alors que Zakok lui parle et le salut l'oiseau incline la tête et pousse un croassement qui se perd dans la nuit, fixant de son unique œil le regard du demi elfe.

Et, peu de temps après que les lycans aient répétés leur petit numéro habituel; Zakok n'y prêtant même plus attention; à la mention du maître du corbeau, un léger rire rauque se fit entendre, suivit de prêt par la sombre silhouette d'un halfelin se dessinant à l'orée du halo de lumière projeté par le feu.

Drôle d'animaux de compagnie qu'ceux là gamin. D'autant plus dans cette région.

oui en effet (un peu etonné de ne pas avoir remarquer le petit bonhomme) ils sont bien moins agressif en journée rassuré vous (tentant de calmé l'ambiance).
je peux me permettre de vous demandé ce que vous faite dans les bois a cette heure ?? j’espère que vous n’êtes pas là pour des intention hostile ou autre ??(ne sachant pas vraiment quoi dire ..hi hi ) ( regardant l'halfelin et ses deux compères pour voir leur réaction)

L'étranger sort alors de la pénombre où il était resté jusque là, dévoilant ainsi un visage amicale buriné par le temps et les intempéries, où deux sombre flammes vertes vous scrutent un par un. Vous ne pouvez également vous empêchez de remarquer sa vieille armure élimée d'un étrange cuire de couleur verte et contrastant avec elle, la hachette et l'épée impeccablement entretenues pendant à ses cotés.

Alors qu'il s'approche encore de Zakok, un grand sourie sur les lèvres, l'énorme corbeau vient se poser à ses cotés.

C'que j'fais seul dans les bois à cette heure? Des intentions hostiles... Au r'gard de la situation j'pourrais te retourner exactement les mêmes questions.

Et quand à ces deux là, bah... les chienchiens à leur maman y'a longtemps qu'j'ai appris à les connaitre. Et c'est un peu pour ça qu'leur cris, pis après ta "joyeuse mélodie", m'ont menés ici. Vois-tu, j'suis comme qui dirais, un espèce de protecteur, Teri qu'on m'appel...

Il s'assoit alors sur un rondin de l'autre côté du feu, son corbeau toujours prêt de lui.

Mais bon maintenant qu'tu sais qui j'suis, tes familiers et toi, z'êtes qui? Et qu'est ce que vous faites dans l'coin?

A ces mots, sa main se porte lentement su la garde de son épée.

Les joueurs qui ont "folklore locale" ou "savoir bardique", peuvent me faire un jet dans la maison de jeu en me donnant le niveau de la comp associée.

(voyant que sa mains ce porte vers sa garde)
hola hola !! pas d’inquiétude ne nous sommes pas là pour nous battre ! hé hé.. (sentant le malaise et la difficulté de la situation )
(zakok repense a sont noms "teri!" un flash lui reviens  et marmonne)
teri.. teri.. (tout en dévisageant l'halfelin sont corbeaux puis l'halfelin puis de nouveau le corbeaux pour repondre!)
mais.. mais attendez ??? teri ? le protecteur ?  ce teri ?? vous êtes ce teri ?  le légendaire ! qui escorte les caravane ?le teri avec sont fidele corbeaux borgne ? le teri  qui aurait repousser des hordes de géants d'orque et des dragon ?
(mode fanboy )

ça se pourrait.

Mais t'as toujours pas répondu à ma question gamin.

hola! hola!! je sens un peux trop de tension ici... (zakok s’assoie a sont tour sur une souche )
veuillez pardonner a mes amis.. il ne sont pas comme ça en journée...
bbbbrrrreeef ! je manque de politesse pardonner moi.
je me présente zakok et les deux poilux derrière moi ce sont mes pauvre amis... adrynn et Talice. je pense parler au noms de tous pour dire que je suis enchanter de rencontré une légende vivante tel que vous   .   (zakok fais signe de sa mains qu'il prend quelque chose dans sont sac et sort doucement un bouteille d'alcool en souriant) et si vous voulez bien m'accompagner? (montrant la bouteille et remplissant ensuite deux chopes) je veux bien vous raconter pourquoi nous nous trouvons ici.