Bienvenue dans Beasts & Barbarians,
un univers de puissants barbares, de courageuses amazones, d’astucieux roublards ou des sorciers mystérieux, et explorer les Dominions de la Mer du Désastre !
Saisissez votre épée, contractez vos muscles puissants et entrez dans la légende !
Définition du Sword & Sorcery : Le Sword & Sorcery est un sous-genre de la Fantasy, c’est le genre qui a été popularisé par des héros comme Conan ou Elric.
Ici, votre héros ne se battra probablement pas tant pour sauver le
monde que pour assouvir ses buts personnels :
Vengeance, Richesses, Honneur,... La morale est ici une question d’ordre périphérique. Ce qui compte, c’est l’art avec lequel vous manierez votre épée, votre seule alliée face aux sombres et puissants mages qui corrompent le monde.
Car la magie est forcement puissante, et très souvent maléfique.
PEUPLES:Les tribus des savanes d’ivoire,Les amazones ,Les seigneurs des cairns,les impériaux,les hommes de jade ,Les norlanders,Les tricaniens,Les valks
Les Caleds et pygmées (Ces deux peuples sont xénophobes et recluses,c’est pourquoi ce ne sont pas de bons choix pour un PJ sauf vincent avec un BG en acier trempé
.)
Les amazones Le code d’honneur des Amazones implique que les Amazones doivent aider les femmes en détresse, mais elles ont appris par expérience à ne pas aller trop loin dans ces situations. En dehors d’Ascaia, le monde n’est pas encore prêt à accepter les femmes indépendantes, et les Amazones doivent déjà constamment faire face à la mé¬fiance des hommes, et ce avant même de re¬chercher des problèmes. Néanmoins, un prin¬cipe est toujours respecté : si une femme, que que soit son statut, rejoint Ascaia et demande à joindre les Amazones, sa requête doit être présentée aux Reines-Soeurs.
Les autres cultures d’Amazones
Les monde de Sword & Sorcery sont centrés sur les hommes, et les femmes y sont typiquement vues comme une récompense pour les vainqueurs ou comme des objets de désir.
Une amazone peut être un personnage très intéressant à jouer. Les Amazones d’Ascaia sont les plus connues, mais elles ne sont certainement pas le seul groupe de femmes indépendantes dans les Dominions de la Mer du Désastre.
Les Valkyries en sont un autre exemple célèbre, et il est tout à fait possible qu’une femme des terres barbares reprenne l’épée de son père et montre au monde ce qu’est une vraie héroïne
« Tribus de la Savane d’Ivoire »est un terme collectif choisi par les Impériaux pour définir toutes les populations noires vivant au sud de Kyros, des nomades de la Savane aux fermiers de la Ceinture Verdoyante, en passant par les anthropophages des Îles Cannibales.
Bien qu’ils diffèrent beaucoup les uns des autres, tous ont une peau d’ébène. Ils sont souvent de taille moyenne et musclés ; mais ces traits ne sont pas universels. Ainsi, nombres de nomades de la Savane rivalisent en taille avec les Nordlanders, tandis que les habitants de la Ceinture Verdoyante ont une plus petite taille, sans doute due à leurs relations occasionnelles avec les Pygmées.
Les gens de la Savane ont des proportions harmonieuses, et leurs femmes sont particulièrement séduisantes. À tel point que l’on raconte qu’une danseuse tribale est capable de subjuguer un homme au point de le tuer sur le champ par la seule grâce de sa danse.
Malheureusement, leurs qualités physiques et leur technologie trop rudimentaire en a fait des esclaves très prisés. .
Les tribus de la Savane d’Ivoire n’ont pas d’identité culturelle commune, et il existe de nombreuses rivalités entre elles.
Les hommes et femmes des tribus de la Savane d’Ivoire sont vêtus de peaux de bêtes et de vêtements de laine simples. Ils apprécient les couleurs vives, comme le rouge et le jaune, et aiment tout particulièrement les plumes et les coiffes insolites. Les femmes sont générale¬ment torse nu.
Les noms dans les Tribus de la Savane d’Ivoire, sont courts et contiennent beaucoup de sons labiaux. Exemples : Eba, Utu, Ushul, Ngoba, Talindi, Malima.
Les Seigneurs des Cairns, qu’on appelle également Cairnois, sont un peuple grand et musclé. Leur peau est grisâtre et leurs cheveux typiquement noirs ou gris.
C’est un peuple particulièrement remarquable, mais aussi répugnant de par les tombes qui leur servent d’habitat. Leur contrée était autrefois un puissant empire, plus ancien que l’Empire Kéronien dont le nom même a été oublié.
Les seuls restes de ce lointain passé sont leurs énormes cairns : des collines artificielles servant de tombeaux à ceux que l’on nomme les Ancêtres. Certains cairns sont si grands que l’on pourrait à proprement parler les considérer comme des nécropoles.
Les Cairnois vivent dedans. Ils y dorment, mangent, s’y reproduisent et le tout en cohabitant avec les défunts. Ils enterrent aussi leurs proches dans les cairns, ainsi, le nombre des Ancêtres ne cesse de croître.
Pour un Cairnois, il n’y a que peu de différence entre la vie et la mort. Ce sont deux états d’existence proches. Même après la mort, il reste avec sa famille, et conçoit que son crâne puisse devenir le bol préféré d’un de ses proches et que ses fémurs fassent office de gourdin ou d’outils.
Ils sont convaincus que les esprits des Ancêtres leur parlent, les guident et les protègent. Ainsi, prendre le contrôle d’un grand cairn signifie l’acquisition d’un grand pouvoir, non seulement du fait des trésors anciens qui y sont ensevelis (le savoir des cairnois en matière de travail des métaux reste primitif, et la majorité des objets métalliques qu’ils utilisent viennent des cairns), mais aussi grâce à la protection des Ancêtres nouvellement acquise.
Les royaume des Ancêtres était autrefois si vaste que certains cairns sont situés au sein même des frontières des terres des Nordlanders et même de l’Empire de Fer.
Les Seigneurs des Cairns ennemis ne s’en battent pas moins sauvagement pour le contrôle des cairns majeurs, où qu’ils soient.
Les Cairnois sont organisés en clans, dirigés soit par un chef, soit par un roi. Ils vivent de la chasse, de l’élevage, d’une agriculture très primitive et du pillage.
Ils portent en général des peaux de bête et de vieilles loques ou armures qu’ils ont trouvées dans leurs cairns. La plupart d’entre eux portent également une amulette ou tout autre objet ayant appartenu à un Ancêtre, afin qu’il les protège.
Ils choisissent leur propre nom, qui tient plus du surnom que de noms civilisés ty¬piques. Exemple : Oreilles Fines, Patte de Chèvre, Épée Brisée, Sept D’un Coup, Fiancée du Mort, Cheval Décharné, etc.
Les Impériaux forment la civilisation la plus vaste des Dominions de la Mer du Dé¬sastre. Et de ce fait, c’est aussi le peule le plus difficile à définir.
Cette terminologie s’applique à toutes les populations civilisés qui vivent ou ont vécu sous l’égide de l’Empire de Fer.
L’Impérial typique, vivant à Faberterra, Syranthia ou dans le nord de Kyros, est de taille et corpulence moyennes et a le teint hâlé.
La peau des travailleurs manuels et des fermiers est généralement plus cuivrée, alors que celle des aristocrates et marchands est nettement plus pâle. Ceci n’est dû qu’aux différences de leurs modes de vie.
On trouve toutes les couleurs de cheveux, mais le brun domine, et leurs yeux sont généralement sombres. Selon leur statut et leur fortune, certains arborent une barbe et une moustache bien taillée, cependant, les militaires eux sont toujours rasés de près pour des raisons d’hygiène (une tradition vieille de plusieurs siècles venant des Phalanges de Fer).
Ils sont vêtus de tuniques, longues ou courtes, de sandales et de capes de laine ou de coton. Dans les terres plus chaudes, ils optent plutôt pour la soie tricanienne.
Les Impériaux ont tendance à être sophistiqués et civilisés. Ils évitent les autres peuplades qu’ils considèrent, non sans raison, comme des barbares. Des siècles de conquêtes et d’accumulation de richesses les ont rendu gras et arrogants, avec une passion pour les plaisirs héritée de leur contact avec les Tricaniens.
Ce sont toutefois de dangereux ennemis. Les gens civilisés sont avides de complots et de manigances, et une dague dissimulée n’est pas moins dangereuse qu’une hache barbare tenue sur l’épaule.
Le bon coté des choses, c’est que les Impériaux sont cosmopolites, tolérants envers les autres cultures et religions, généralement curieux vis-à-vis du monde, et ouverts aux idées neuves.
Le système politique actuel de l’Empire est une monarchie absolue. Cependant, il couvre un immense territoire, et l’Empereur siégeant à Faberterra est souvent loin. Les différentes régions de l’Empire sont donc administrées par des gouverneurs. Par ailleurs, la décadence progressive de l’Empire, conduit de nombreuses contrées à prendre leur indépendance, et retourner à leurs formes initiales de gouvernance, que ce soit la monarchie, l’oligarchie et dans certains cas, la démocratie.
Les noms des Impériaux incluent généralement un prénom et un patronyme ou nom de famille, tels que Tellario Voleskos, Domitio Antiokan, Marika Eleucorikos, Irenya Bere¬nantios, etc.
Les Hommes de Jade sont de corpulence moyenne et généralement petits, mais pas autant que les Valks. Leur teint est d’un jaune pâle ou d’un vert de jade, leurs cheveux sont noirs et leurs yeux sont bridés.
Ils vivent depuis des temps immémoriaux dans le Lhoban, un territoire désolé de haute-montagne – les plus hauts sommets du monde connu. Il y fait si froid que seuls quelques animaux, tels le yak, peuvent y sur¬vivre.
Les Hommes de Jade s’habillent généralement de vêtements en laine. Le tissage tient une place prépondérante dans leur culture, et la laine de Lhoban est réputée être l’une des meilleures et des plus décorées au monde. Ils ont une très faible pilosité faciale, et considèrent la barbe comme un signe de maturité et de sagesse.
La gouvernance du Lhoban est une forme particulière de théocratie contrôlée par les moines. Leur chef, l’Illuminé, est considéré comme un guide spirituel quasi-divin, capable de guider le royaume entier depuis son monastère isolé de la Cité des Nuages. Les simples moines voyagent de par le pays et s’assurent que sa volonté est appliquée.
Les Hommes de Jade ne sont pas religieux de façon traditionnelle, mais leur philosophie repose sur un concept de réincarnation perpétuelle et l’amélioration progressive de l’individu vers l’Illumination finale. Cela ne veut pas dire pour autant qu’il ne croient pas dans le surnaturel, bien au contraire. Les moines du Lhoban sont conscients des menaces surnaturelles qui planent sur le monde des hommes (démons, dieux extérieurs, etc...), et la lutte contre ces abominations est une des doctrines de leur philosophie.
Ils sont ainsi en guerre depuis longtemps dans les Terres des Idoles
L’environnement du Lhoban est tellement hostile que de nombreux Hommes de Jade l’ont quitté et ont établi de grandes communautés à travers les Dominions de la Mer du Désastre, principalement à Ekul, Kyros et Gis, la Cité des Alchimistes.
Les Hommes de Jade sont très courtois et respectueux, au point d’en être cérémonieux. Cela n’est en aucun cas de la lâcheté : ce sont des guerriers redoutables et beaucoup maî¬trisent des techniques de combat inconnues dans le reste de l’Empire.
Leurs noms ont une consonance tibétaine, comme Akar, Amrita, Dhargey, Gu Lang, Jim¬pa, Lasya, Sangmu.
Les Nordlanders sont de loin les individus les plus grands et les plus forts des Dominions de la Mer du Désastre. Nombre d’entre eux dépassent les 2,10 m et sont capables de maîtriser un boeuf à main nue.
Les hommes comme les femmes ont les cheveux longs, et les femmes mariées les coiffent en nattes. Les hommes préfèrent de longues barbes, sauf dans les tribus méridionales où ils se rasent, principalement comme signe de reconnaissance mutuelle sur les champs de batailles.
Leurs tenues sont principalement des fourrures et des vêtements de laine. Les hommes aiment être torse nu, même au milieu des hivers les plus rudes, car ils considèrent cela comme un signe de force, tandis que les femmes s’habillent de façon plus traditionnelle et portent de longues robes.
Les Nordlanders sont fascinés par les métaux. L’art de fondre le fer est une chose nouvelle pour eux, et les forgerons sont très respectés.
C’est un peuple fier, mais aussi borné et téméraire, qui redoute et haït tout ce qui a trait au surnaturel.
Leur vision du monde est simple : le fort domine le faible, comme le loup domine le cerf. Les choses sont ainsi faites, et si la nature fonctionne de cette façon, alors il n’y as pas de raison qu’il en soit autrement pour le monde des hommes.
Ils sont organisés en grandes familles ou clans, généralement dirigés par les plus vieux membres masculins, et vivent de la cueillette et de la chasse. Les querelles et disputes entre voisins sont assez fréquentes et finissent sou-vent en bain de sang.
Les Nordlanders sont individualistes, et ce n’est qu’en de rares occasions dans leur histoire qu’un chef charismatique a su les unir sous une seule bannière. Ce fut alors pour com¬battre des menaces majeures, telles qu’une importante attaque de Seigneurs des Cairns ou une invasion Impériale.
Les noms typiques pour les Nordlanders sont courts et claquent sous la langue, comme Shangor, Torm, Uma, Verrik, Gorn, Targar, Beren.
Ils n’utilisent pas de patronymes, sauf lors de situations très officielles. Pour un Nordlander, c’est l’épée d’un homme, pas son père, qui lui donne son importance.
Les tricaniensLa population de Tricania est composée de deux ethnies distinctes : les Hauts Tricaniens – qui constituent la noblesse, le clergé, les of¬ficiers supérieurs de l’armée et les marchands – et les esclaves qui constituent la grande ma¬jorité de la nation.
Les esclaves tricaniens sont issus d’autres ethnies capturés lors de raids ou acheminés par des pirates et achetés à des marchands d’esclaves à Caldeia, Kyros ou dans les Cités Libres.
Les Hauts Tricaniens ne sont pas complè¬tement humains, car le sang des anciens Ké¬roniens coule dans leurs veines. Ils sont pour la plupart très grands et sveltes, et leur teint est pale ou très rarement noir de jais. Leur peau est très douce et sans la moindre pilosi¬té, un trait qui répugne quelque peu les autres cultures. Malgré ce détail, la plupart d’entre eux sont très beaux, leurs traits sont allongés et bien définis. On raconte que les Hauts Tri¬caniens ont trouvé un moyen pour étendre leur longévité au-delà de celle des autres races, mais cette rumeur n’as pas été prouvée.
Ils portent généralement de longs vête¬ments de soie élaborés. Ce tissu est assez com¬mun en Tricania puisqu’il est produit dans des élevages locaux de vers à soie hérités du passé kéronien de la région. En combat, il portaient des armures raffinées faites précédemment de bronze, désormais remplacé par le fer, et des casques à pointe.
Les Tricaniens sont d’un naturel cruel. C’est un instinct naturel chez eux, un peu comme un chat torturant une souris. Pour eux, les autres races sont naturellement inférieures et dignes du seul statut d’esclave, ou bonnes à être sacrifiées sur les autels de leurs dieux étranges (ou à servir de cobayes pour leurs horribles expérimentations).
C’est à eux que l’Empire de Fer doit sa dé¬cadence, mais les pires déviances des nobles et marchands Impériaux les plus dépravés ne sont rien en comparaison avec le quotidien de la citadelle d’un Prince-Prêtre de Tricania.
Cette civilisation se distingue aussi parti¬culièrement pour sa pratique de l’esclavage et de la sorcellerie.
Comme il l’a été précédemment expliqué, l’économie de Tricania est entièrement basée sur l’esclavage. Ne formant qu’une fraction mineure de la population totale, les Hauts Tri¬
caniens ne peuvent pas garder le contrôle des esclaves à eux seuls, c’est pourquoi l’esclavage y est échelonné sur plusieurs niveaux.
Les moins bien lotis sont les humbles tra¬vailleurs des rizières, les mineurs de fond et les collecteurs de sangsues – les sangsues sont d’usage courant dans la médecine des Hauts Tricaniens.
À peine au-dessus d’eux se situent les es¬claves guerriers et gardes, qui bénéficient de meilleures conditions. Ils contrôlent les es¬claves de rang inférieur et forment l’essentiel de l’armée.
Les eunuques se trouvent au sommet de l’échelle sociale des esclaves. C’est une caste d’hommes castrés qui servent de guerriers d’élite et d’administrateurs.
La sorcellerie est chose commune dans ce pays. Presque tous les Tricaniens de pure souche connaissent un minimum de sorcel¬lerie, indispensable pour survivre à tous les complots et manigances de leurs pairs, tou¬jours à la recherche de pouvoir et de statut social.
De nombreuses formes de sorcellerie sont pratiquées, mais les plus répandues sont la magie de corruption et l’invocation de si¬nistres créatures.
La Maîtrise du Lotus et l’usage de drogues en général sont courants et encouragés, même pour les esclaves – un esclave drogué est plus facile à contrôler.
Tricania est divisée en principautés, cha¬cune complètement indépendante et gouver¬née par une seule famille noble. Les complots, manigances et guerres sont chose commune parmi les Princes. La capitale de Tricania, la Cité des Princes, est considérée comme un terrain neutre. Aucun acte de guerre ne peut y être perpétré. C’est aussi là que siège le Haut- Prince, le chef d’État de Tricania.
Les Tricaniens haïssent les Caleds de tout leur coeur (et en ont secrètement peur), car ces derniers sont les descendants de leurs es¬claves d’antan et ils veulent se venger pour les millénaires passés sous leur coupe.
Les noms typiques des Hauts Tricaniens ont une connotation ancienne et sont tou¬jours précédés par des titres, tels que Prin¬cesse Salkaria, Prince Hoolon, Prêtre Tokariel, etc. En dehors du cadre familial, l’omission du titre en s’adressant à un noble Tricanien est considérée comme une insulte mortelle.
Les Valks sont la plus petite des races communes, exception faite des Pygmées. La plupart mesurent à peine plus de 1,50 m, et un Valk dépassant les 1,80 m est considéré comme un géant.
Leurs cheveux sont bruns ou noirs, sauf pour les Valkyries, leurs prêtresses, dont la chevelure varie du blanc au blond (souvent via une teinture). Les guerriers portent une natte, coupée uniquement en cas de déshonneur et qui est d’autant plus longue que le guerrier est brave et puissant. Ils ont peu ou pas de barbe, car un de leurs rites de passage, nommé l’Offrande de Sang, consiste à s’infliger soi-même des blessures aux joues qui, à terme, empêchent toute pilosité.
Les Valks s’habillent de cuir et, hommes comme femmes, ils portent des pantalons et des bottes, l’habit le plus pratique pour cette race de cavaliers. Ils montent à cheval avant même de savoir marcher, et font preuve d’un talent incroyable à dos de leurs poneys.
En temps de paix, l’économie de base des Valks repose sur l’élevage de moutons, de vaches, et bien-sûr de poneys. Le lait de po¬ney et la viande de chèvre forment la base de leurs alimentation, et les Valks sont particulièrement friands d’un alcool de lait fermenté que les autres cultures trouvent dégoûtant.
Ils sont organisés en clans dirigés par des chefs de guerre qui partagent le pouvoir avec les Valkyries. Hormis pour ces prêtresses qui sont craintes et respectées, le statut social des femmes Valks est très bas, au point même que le mariage est chose rare car un guerrier peut se contenter de garder dans sa tente les femmes de son choix dans un état de quasi-esclavage. Ce n’est qu’après la naissance d’un fils que le père devient responsable de la mère ce celui-ci.
La religion des Valks influence grandement leur mode de vie. Ils vénèrent des démons qu’ils voient dans de nombreuses manifesta¬tions du monde naturel comme le tonnerre, les vents des steppes, ou les horribles épidé-mies qui déciment les troupeaux et sèment la famine dans les clans. Ils n’en ont pas peur, du moins en apparence, mais ils reconnaissent et respectent leurs pouvoirs surnaturels.
Les noms Valks sont gutturaux et contiennent beaucoup de consonnes : Dhaar, Khull, Dakka, Rigga, Throgg, et Vulkat sont tous de bons exemples.